LA COUR SUPRÊME POURRAIT ÉVOQUER UN « DÉFAUT D’OBJET » AU REGARD DE LA LEVÉE DE LA MESURE
Avançant la multiplication des « actions de subversion des partis politiques et de leurs alliés » constituant des « troubles à l’ordre public », les autorités de la transition ont annoncé le 10 Avril dernier la suspension des « activités des partis politiques et les activités à caractère politique des associations ». En réaction à cette mesure qualifiée de « tyrannique et liberticide », (…)